(OU BIEN, DUE : COME HO SALVATO LA VITA A GIUSEPPE)
Giuseppe A. Samonà
One
My name is Youssef. (Du moins, c’est ainsi qu’on m’appelle depuis toujours.) J’habite une cabane confortable, au bord de la plage. Chaque matin, un peu avant cinq heures, My name is Muhammed me réveille, sabah el kheir : nous trottinons jusqu’à la rive, nous remontons nos pantalons, nous pataugeons dans l’eau, nous poussons la petite embarcation, nous entrons dans la mer noire, et il fait presque froid. My name is shueya shueya, piano piano. Nous naviguons quelque temps, jusqu’à My name is henâk, là-bas, où…. (Muhammed connaît la mer, il connaît cette mer, il connaît beaucoup de choses) : nous arrêtons le moteur, et nous attendons. La lumière arrive – elle monte par derrière les ombres qui se colorent de My name is akhmar, comme la promesse d’un mystérieux bonheur. La mer en même temps devient rouge. Et voilà que My name is sham’s apparaît, déjà puissant – il est né il y a longtemps, dans les secrets des rochers, de la terre qui déjà est chaude, de l’air (Extase dans l’extase : puis-je ne pas penser aux temps lointains où, encore plus à l’Est, il y a des milliers de siècles, un peuple métissé et généreux l’adorait comme Shamash, et aussi Utu ?) Notre petite embarcation est si petite – si grand My name is bereshit qui soudain surgit face à nous, comme un caprice, et pourtant inexorable… les ombres sont devenues matière, montagnes, et plaines fertiles, c’est peut-être cela, au commencement (c’est ainsi que la première fois j’ai appris bereshit), quand tout advient soudainement… c’est peut-être cela qui est petit et nous qui sommes grands, en allongeant le bras, henâk, on peut presque toucher My name is Saudi, à sa gauche Jordan, et encore plus à gauche, comme pour clore l’horizon, Israil – à l’arrière (inch’Allah), Ramses et Moshé nous protègent, nous attendent : My name is Sinai. Pendant un moment le temps s’arrête, My name is Youssef et My name is Muhammed, nous sommes petits et immenses dans l’immense et petit univers, et sham’s caresse sa peau olivâtre, ses grands yeux, son sourire doux et fier. C’est un Prince, il est jeune, il est beau, je voudrais… mais que dis-je ? yalla (My name is…), le temps reprend son cours, il faut se mettre au travail. Démêler et tirer des mètres et des mètres de fil transparent, enfiler les hameçons et les cacher à l’intérieur de petits morceaux de My name is samak mat, mort, affreusement puant, et puis lancer les fils à l’eau, un fil Muhammed, un fil Youssef, pour caresser les profondeurs de la mer, de haut en bas, de bas en haut, shueya shueya, et puis yalla, yalla, un coup sec… shit, et merde ! Mais Muhammed sourit : My name is mah fihsh… maalesh, ce n’est rien, allez, encore, shueya, à la recherche d’autres samaka, ou plus précisément aasmak, mais vivants. Oh, je le connais bien ce métier, il est né dans la mer, « moi », Youssef, depuis toujours je sais aller dans l’eau. Mais quand j’étais plus jeune j’étais plus effronté, moins sensible, ou peut-être je ne pêchais jamais rien… quand le premier My name is samak (qui parfois est ismak…), mord à l’hameçon et se débat, Muhammed le libère, le jette au fond de la barque, et puis, comme Yanez (Salgari, lectures italiennes, Les tigres de la Malaisie) il allume une énième cigarette et regarde, nostalgique, l’horizon ; moi, en revanche, je regarde My name is samak (ou ismak, etc.) qui s’agite saute tombe resaute retombe, et je vois je comprends qu’il est en train de se noyer d’étouffer l’air lui manque l’air c’est-à-dire l’eau et il étouffe, et je me sens suffoquer avec lui – mais… Ehi Muhammed, Muhammed, My name is… je me tords les mains, je m’attrape le cou, je le serre, chicken like, je tire la langue, je voudrais, aiwa, oui, je voudrais, si je ne peux pas le sauver, au moins le tuer, ce bénit maudit samak, je voudrais le tuer pour le sauver de l’étouffement, mais je ne sais pas comment faire, je n’ose pas, je voudrais que ce soit lui, Muhammed, qui le fasse, mais Muhammed me regarde avec un sourire mélancolique, comme si derrière moi il voyait bereshit et l’univers entier… il ne dit rien, mais il allume, comme Yanez, une ennième cigarette – il parle seulement quand, après une éternité (quelques minutes en fait, mais de quoi est faite l’éternité ?), après un dernier spasme, plus violent, samak retombe au fond de la petite embarcation pour ne plus bouger; c’est seulement à ce moment-là que Muhammed parle, il a toujours son sourire mélancolique, il montre samak d’un geste pudique mais regarde au-delà, il regarde l’horizon et dit : mat. Mort. Ainsi, jour après jour, et plusieurs fois par jour, les samak, au fond de la barque, se débattent puis deviennent mat, et s’ils sont trop petits, souvent mat eux aussi, ils serviront un jour d’appât ; les samak vivants adorent les samak mat. On s’habitue, on n’y pense plus, mais moi, je ne m’y suis pas habitué, je n’y suis pas arrivé – parfois il arrive de pêcher un petit samak, de ceux que… faut-il les garder? et hop, à l’eau, même si je ne devrais pas: quelle joie (mais selon quelle logique décide-t-on de le faire ou non? Mystère… je me rappelle une fois, un petit samak, je lui souris et je dis tout doucement: à l’eau? Muhammed, lui aussi, hésite, il est sur le point de le libérer, et finalement non, hop, au fond de la barque… je n’ose pas intervenir, je ne peux quand même pas rejeter à la mer toute la pêche…) ; d’autres fois on ne pêche rien, cela arrive, et c’est une joie aussi, même si elle est plus diffuse et plus angoissée, car à tout moment on pourrait ressentir une secousse : c’est un samak, un bon, et le voilà au fond de la barque à se contorsionner, … Quand j’étais plus jeune, je n’étais pas comme ça, j’étais plus effronté, et je ne pêchais rien. Mais il n’y avait pas Saudi, il n’y avait pas Israil. Il n’y avait pas les fils à démêler, il n’y avait pas Muhammed et nos interminables conversations entre un samak et l’autre– moi qui ne parle pas sa langue, lui qui ne parle la mienne, il ne sait dire que son omnipotent My name is ; c’est de là qu’il part pour nommer le monde, en indiquant (pour l’indiquer) – un peu comme Adam dans le deuxième récit de la création, ou Wittgenstein – c’est vrai ! – dans le Tractatus logico-philosophicus –, et me l’enseigner, à moi qui volontiers l’apprends; ou peut-être, comme quand My name is bereshit, est-ce le monde qui se décompose en ses différentes parties, en ses multiples sentiments , et s’avance ainsi en tendant la main, pour se présenter à travers la voix de Muhammed; ou, mieux, pour naître, comme si cette voix était le verbe, et nos matins, l’instant renouvelé de la création: My name is… Douce victoire d’un panthéisme des justes, je peux écouter le soleil, les pierres, le temps lui-même: dayman (My name is…) – c’est beau de tuer, même si cela me pèse. Même les samak qui se débattent sont beaux- mais c’est terrible, la vie, la mort, l’un oui, l’autre non, on hésite, il suffit d’un instant, et puis le destin, le hasard… Mentre, My name is, ne parlo con Muhammed, per conoscere insieme all’universo la sua vita, e lui la mia… (I know, I just changed my language, a few words ago… but if you can read Italian, go on, you will understand why.)
Due
Ma la storia è un’altra. (Anche se a ben guardare è la stessa).
My name is Mahmoud – tutti My name is sempre Mahmoud, laggiù, o Muhammed – My name is Mahmoud, dicevo, che è un amico di My name is Muhammed, ancora grufola, ma sveglio, avvolto nel suo lenzuolo bianco, sotto il porticato (il suo letto, la sua casa), siamo appena tornati dalla pesca. Ma quello che è ? Ah quello… quello è un amico shalom di Mahmoud che lo ha trovato in mezzo alla strada, dall’altra parte della frontiera, accucciato, e lo ha raccolto, ma poi è dovuto ripartire, e lo ha lasciato là, accanto a Mahmoud che si stava svegliando, toda raba, shoukran, e là è rimasto, sempre accucciato, come tramortito, un mucchietto di ossa. Un piccolo cane.
La giornata comincia, caffé, scherzi. Il piccolo cane non si muove, sempre dorme (dorme ?). Il sole gira, ci tocca, ci spostiamo, e spostiamo il piccolo cane, per depositarlo poco più in là, all’ombra, e sempre non si muove. E’ stanco, e ha caldo (dice Mahmoud). E se fosse malato ? (My name is taa’bân, sokhn, ayyân) Ma ha sete, sete, quando fa così caldo bisogna bere. Due colpi di lingua svogliati, due goccie d’acqua addosso, per rinfrescarlo, e certo, sì, è vivo, ma che fiacca, subito si riaccuccia. È normale, fa caldo, non è normale, è troppo stanco, ed è così piccolo… Forse un po’ di latte, quando son così piccoli. Ma niente, un’annusata svogliata, e via, a dormire (ma veramente ? dorme ?) Ancora scherzi, caffé, altra gente che arriva, e sempre il piccolo cane dorme ( ?) – ma io scherzo più piano, perché sono preoccupato, il cane è così piccolo, sono già affezionato, e se stesse morendo ? e anche Mahmoud e Muhammed sono affezionati, credo, ma loro sono abituati, i pesci, la vita, la morte, non farebbero caso a quella loro, di morte, figuriamoci a quella di un piccolo cane. Poi ecco sulla tavola del cibo, perché sì, fa caldo, ma bisogtna pur mangiare. E Muhammed, per scherzare, allunga un pezzetto di My name is lahma al piccolo cane, e la risata sta per partire (la mia più piano), della carne a un cane così piccolo ! ma il piccolo cane più rapido della risata si avventa e trangugia quasi senza respirare il pezzo di carne, e allora dopo un momento di sospensione, eccola la risata, ma diversa, perché un cane così piccolo mangia così voracemente, e giù altri pezzi di carne, e altre risate, di divertimento e anche di liberazione, perché il piccolo cane mangia, e poi beve, ora con entusiasmo, aveva fame, fame, e mangia, e beve, è vivo. Così piccolo, quel piccolo cane, che sazio, sulle sue gambotte mal ferme, parte a correre, a esplorare, annusare, abbaiare e giocare dietro agli altri tre cani del vicinato, molto più grossi di lui, e devono fare attenzione a non travolgerlo – ed anche si slancia dietro ai rari passanti, lungo la grande strada di terra battuta (il largo sentiero) che separa le case dove si dorme dai bivacchi ombreggiati dove si vive, di fronte al mare, o persino a un grande cammello, sempre abbaiando, scodinzolando di vita gioiosa, gli va quasi sotto le lunghe gambe, mentre quello, e sembra un proverbio, lungo il largo sentiero indifferente passa. E corre, il piccolo cane, parte, riparte, ma sempre ritorna al nostro tavolo – ed è bello allora carezzarlo, e lui puttanella si lascia andare sulla schiena, la panciotta piena e rosa – abbaiando scodinzolando felice : è vivo, vuol vivere. Il piccolo cane è la sua storia, e la sua storia nasce da quel pezzo di carne. E come ogni essere che nasce e vive ha bisogno di un My name is. Yussef, dico (ho bisogno, io, che il suo My name is sia il mio), e tutti accettano battendo le mani. Ed ecco la nuova giornata, Muhammed, Mahmoud, Yussef (l’umano) e Yussef (il cane), che tutti chiamano, e lui corre, perché ha accettato, è d’accordo, è vivo e felice. Ma poi a sera, sorge un piccolo grande problema. My name is Mahmoud mi spiega che My name is Mahmoud (un altro), o forse è Muhammed, comunque sempre un altro (e sempre My name is), costui insomma, molto sensibile alle questioni teologiche, arguisce che quel nome a un cane non è possibile, per via del Profeta di cui, si dice, Yussef era un lontano parente – come fare ? Idea, dico ancora io, sarà la traduzione italiana : è una lingua che a volte mastico, con qualche piacere, e i cui suoni, incomprensibili ai più, non offendono nessuno. Così il piccolo cane è diventato Giuseppe, il che ha anche il vantaggio di non fare confusione con me che, umano, sono appunto Yussef – quando qualcuno ci chiama, non dovremo correre tutti e due. Io del resto al mare preferisco restare seduto, all’ombra, o con un lieve sole che appena filtra attraverso le frasche – così, seduto, senza timore che nessuno mi chiami, resto molte ore, a guardare la commovente vita : il piccolo Giuseppe che correndo parte e riviene. Carezze.
Per sempre ? No, il dramma è in agguato, si consuma imprevisto in due parti, anche se, come capita a volte, solo la seconda rende tale la prima. (Non dirò, per ovvie ragioni narrative, come andò a finire, ma sia pur sottovoce – la parentesi – dirò, perché non posso resistere, che a volte sia pur rare il male può essere sconfitto).
Il giorno dopo tornando dalla pesca: dov’è Giuseppe ? L’abbiamo dato a My name is quello che vende le ciabatte e altre cianfrusaglie poco più in là, gli darà da mangiare lui, qui abbiamo già tre grossi cani. Vado a trovarlo, mi riconosce, corse e carezze – in fondo basta fare due passi, e può farli anche lui, infatti li fa. Ma ecco che il giorno successivo – il terzo, da quando Giuseppe è entrato nella mia vita – tornando dalla pesca Giuseppe non c’è : dorme. A quest’ora ? Così giovane ? (cfr. Totò in Totò Truffa, con il padrone di casa, non c’entra niente ma non posso fare a meno di pensarci ogni volta che pronuncio questa frase – e torniamo a Giuseppe). Non c’è neanche il quarto giorno : ma è sicuro che dorme ? Non proprio, dormiva, poi son passati tre bambinelli, oh che carino, lo possiamo prendere ? certo, e son partiti con Giuseppe alla volta del villaggio. Exit Giuseppe, ma non ti preoccupare starà bene laggiù, con i bambinelli.
Lungo il grande sentiero dove passano cani e cammelli, e poi dune di sabbia, terreni lunari, il villaggio dista un paio d’ore : la curiosità, diciamo, o anche il desiderio di rendere una visita, un dovere di cortesia – in realtà, è un vago e indefinibile senso di inquietudine, un oscuro e tuttavia speranzoso presentimento, a dar prurito alle nostre gambe. (Lo dico subito : il passaggio dall’io al noi – le nostre gambe – non è dovuto a sbadataggine grammaticale, anzi, siamo sempre stati due, sin dall’inizio, a volte persino nel mare, con Muhammed – ma la pesca è storia di uomini soli, raccontata da uomini soli, anche quando pescano le donne, anche se pescano meglio degli uomini…). Polvere e case bianche volentieri diroccate, stradine, donne infoulardate che preparano bozzime, mocciosi, polli e cani che giocano o si affrontano, insieme. E poi, ecco, come un lampo : polveroso, mogio, appena riparato dal feroce shams accanto a un ammasso di pietre lo vediamo. Giuseppe. Ci vede, muove la coda, ci ha riconosciuto, ma appena la muove : è stanco, come il giorno che lo abbiamo conosciuto, e peggio, sembra moralmente abbandonato, avvilito – la vita non è mai stata bella, fa schifo ! Lo prendo in braccio, lo avvolgo, e chiedo a destra e a sinistra : hena ? hena ? qui ? qui ? (My name is ana, io, mio, ma non ricordo nel panico My name is tu, tuo) – nessuno lo vuole, neanche i bambinelli che spuntano da una viuzza, son distratti, il cane va bene per giocare un po’ : ma chi si prenderebbe veramente un’altra bocca da sfamare ?
Così, siam ripartiti con Giuseppe – e arrivando alle nostre capanne, di nuovo My name is Muhhammed gli ha dato acqua e, soprattutto, un pezzo di carne e hop, via, il miracolo, Giuseppe è ripartito, e – My name is men fadl-ak – per favore, per sempre, anche se ci sono già tre grossi cani. E Muhhammed sorride. Va bene.
Questa insomma è la storia di Giuseppe, il piccolo cane giudeo-musulmano, cioè di nuovo la vita, la morte, uno sì, e se un attimo prima, l’altro no, forse, esitando, e poi, il destino, il caso… come mai ? avrebbe potuto morire, anzi no, era praticamente morto, e invece per caso, o meglio My name is inch’allah, l’ho incontrato io, ed è vivo, e di giorno corre esplora e gioca con gli altri tre grossi cani. A lungo mi sono chiesto come mai di notte dormisse nella capanna di Muhammed, e non nella nostra : il pezzo di lahma (My…) che Muhammed per primo gli diede vale più della vita che io gli ho salvato ? O forse sapeva, meglio di noi, che dovevamo partire.
È avvenuto un giorno, senza preavviso. My name is Madame ed io ci siamo lasciati alle spalle il grande sentiero dei cammelli e ci siamo avviati verso la grande strada asfaltata delle macchine. Ci hanno accompagnato sino al limite estremo, là dove la sabbia lambisce il catrame, per poi lasciarci là, prima che arrivasse l’autobus, per poi tornare indietro – senza parlare. Così, in ultimo, mentre si allontanavano insieme, li abbiamo visti di spalle : i tre grossi cani, Mahmoud, Muhammed e Giuseppe. Ed io non so aggiungere altro – tranne di aver pensato che non avevo mai chiesto quale is My name del mare.
***
Ora / Maintenant
Le due storie, uno e due, stanno qui insieme, a dire di un tempo e di uno spazio armoniosi, alba mai esistita dell’umanità (è nostalgia del futuro), quando appunto i nomi si potevano pronunciare per intero, senza tema di offendere alcuno. Se invece di un racconto – di un ricordo, o di un sogno, je ne sais – avessi scritto un saggio, un articolo, avrei cercato di spiegare come quel villaggio, al centro dei confini dell’antico centro del mondo, poi lontana periferia, in cui coabitavano come di nascosto nei lunghi e sonnolenti giorni di ogni giorno, come in un pezzo di eden dimenticato, musulmani, cristiani, ebrei, sia diventato un inferno di fuoco.
Les deux histoires, un et deux, sont ici ensemble, pour dire un temps et un espace harmonieux, une aube qui n’a jamais eu lieu (nostalgie du futur), quand on pouvait prononcer les noms en entier sans crainte d’offenser personne. Si, au lieu d’un récit, d’un souvenir, ou d’un rêve, je ne sais, j’avais écrit un essai, un article, j’aurais essayé d’expliquer comment ce village, au carrefour des frontières qui délimitent l’ancien centre du monde, devenu lointaine périphérie, où Chrétiens, Juifs et Musulmans cohabitaient, presque en cachette, pendant les longs jours somnolents d’un Eden oublié, a pu devenir un enfer (de feu). En montant dans le bus, au moment de partir, My name is Madame et moi, nous ne savions pas que nous ne reverrions plus ces lieux, ces gens, le petit chien Giuseppe. My name is Madame, c’est Sophie Jankélévitch, elle a aidé le texte français à prendre forme, elle est aussi l’auteur des photos, et je l’en remercie.